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Un projet d’aménagement pédestre des bords de Seine est en cours d’étude d’Athis-Mons à Corbeil-Essonnes
M. Gruber |
Y. Lejeune |
JL. Maurer |
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Cette mandature permettra à notre Maire et Député de présenter un beau bilan : marché couvert neuf, résidences de «standing» en centre ville et aux abords … mais en fait rien de plus que l’alimentation de la flambée de l’immobilier qui rogne toujours plus les budgets faibles et moyens de nombreux draveillois et notamment des jeunes ménages et des anciens aux retraites rognées.
Et quand on parle de standing on est loin des normes de construction HQE, seul le prix est de standing.
Que dire du nouveau lotissement de maisons de ville situé à proximité de la station essence Total sinon qu’avoir délivré un permis de construire à cet endroit relève quasiment de la faute professionnelle, à moins qu’il soit prévu qu’elle ferme sous peu.
Que dire des bâtiments HLM reconstruits aux Mazières quasiment aux mêmes normes que ceux qui ont étés démolis, Isolation moyenne et toits plats en zinc. C’était peut être le moment d’innover avec des toits solaires ?
Quel intérêt de reconstruire si ce n’est pas pour faire du développement durable ou tout simplement de regarder l’avenir en face : l’énergie va coûter de plus en plus cher, de part la pénurie mais surtout de la libéralisation imposée par les politiques européens majoritairement à droite.
Mr le Maire et Député organisait hier 23 juin 2009 une réunion publique sur le projet Joffre à Champrosay, l’APHP ayant décidé de se défaire de son site de Joffre en le cédant à un promoteur pour la construction de quelque centaines de logements (de luxe probablement en majeure partie) en transférant une partie de ses activités sur Dupuytren.
Un projet opaque qui signerait une nouvelle dégradation de la forêt de Sénart si la réouverture de la route du chêne d’Antin à la circulation s’avérait une solution du désenclavement et malgré les dénégations de l’ONF. Notre député maire ne ferra rien contre ce projet : il est porté par ses camarades du parti au pouvoir, mais en politique, le pire ami est toujours celui de son propre camp.
A savoir qu’un logement c’est en moyenne deux voitures et que les flux de circulation sont surtout concentrés sur des tranches horaires matin et soir. L’axe Champrosay – centre ville est souvent saturé et en cas de réduction à une voie, mieux vaut passer par la N7, un comble.
Icade, anciennement SCIC, partiellement privatisée, met en vente ses 35.000 logements sociaux acquis grâce à de l'argent public (c’est nous).
Bénéficiaires : pour partie l'Etat (si c’est un déficit c’est nous, sinon c’est eux) et les
actionnaires privés (c’est encore eux).
Dans les années 1960, la SCIC (Société Centrale Immobilière de la Caisse des dépôts et consignations) bailleur social contrôlé par l'Etat, via la Caisse des dépôts et consignations (CDC) engage de vastes programmes de construction de logements "intermédiaires" accessibles aux familles modestes.
Subventions, aides à la construction et fonds d'épargne ...
les collectivités locales mettant souvent les terrains à disposition gratos,…
ou pour une valeur dérisoire, il y avait un besoin urgent et c’était les trente
glorieuses.
Pour entretenir (très relatif) ce parc immobilier Icade a
été subventionné par l'Etat et en contrepartie bailleur s'engageait à plafonner
les loyers, hélas l’accord prend fin en 2000 et Icade déconventionne ses
logements et le résultat est une hausse des loyers qui atteint souvent les 50%,
en quelques années.
En 2006, Icade est introduite en Bourse. La CDC conserve 61% des parts. Un patrimoine de 45.000 logements estimé alors 1,4 milliard d'€.
En 2008, Icade décide de vendre ses 35.000 logements sociaux restant. Le prix à la revente est estimé à presque 3 milliards d'€, cherchez l’erreur.
Des négociations, en secret, à la demande d'Augustin de
Romanet, directeur de la CDC, un personnage qui vient de couter aux
contribuables deux milliards d’€. Discrétion assurée ... une transaction de gré
en gré aussitôt engagée, dans la plus totale confidentialité, sans appel
d'offres ni publicité, un secret si bien gardé que même les membres du Conseil
d'administration l'ignorent.
Si les logements doivent rester dans le giron du logement social, il va falloir que les bailleurs sociaux déboursent ces 3 milliards, qui ont été financés une première fois par des fonds publics ! Une somme qui sera retranchée de leurs budgets construction, alors que l'offre immobilière sociale est en grave déficit en ÎdF, principale région concernée. Et une grande partie du pactole ira tout droit ... dans les portefeuilles des actionnaires privés (40%), et pour le reste, dans les caisses de la CDC, sans passer par la case "impôts", Icade étant une SIIC, donc exonérée si elle redistribue au moins 50% de ses bénéfices aux actionnaires. Il serait intéressant de connaitre les noms des dits actionnaires profiteurs et des dirigeants d'Icade rétribués sous forme de stock-options (déjà plus de deux millions distribuées en trois ans, un comble pour une entreprise publique plongée dans la crise par ces mêmes sinistres personnages).
Mutation politique de la CDC, l'Elysée ayant annoncé à
maintes reprises annoncé son souhait de la transformer en un "fonds
souverain" intervenant dans le financement de l'économie française. La Caisse des dépôts a annoncé une perte de 1,5 milliard
d'euros pour 2008, dû à des investissements peu
rentables, du jamais vu depuis sa création (près de 2 siècles) ! De ce fait,
Icade ne manquera pas d'être privatisée, ce que souhaitent ses dirigeants. En
2008, la majorité de ses investissements se sont portés sur des cliniques, pour
500 millions d'euros. Bien plus rentable que le logement social !
Des recours ont été portés devant le tribunal administratif… sans suite. Les maires d'Île de France (AMIF) s'inquiètent et multiplient les rencontres : Christine Boutin, Eric Woerth les ont reçus, classé … sans suite. Les sociétés HLM envisagent de porter l'affaire en justice, tandis que des parlementaires viennent de déposer, au Sénat et à l'Assemblée nationale, un texte pour demander la création d'une commission d'enquête sur cette cession dénonçant "l'opacité dans laquelle se déroule cette vente". Ils insistent sur le "risque de conflit d'intérêts pour la Caisse des dépôts, qui est partie prenante à tous les niveaux : vendeur, acquéreur, préteur, actionnaire", et s'interrogent sur "la destination finale du produit de la cession". A suivre de près !!! Ce n’est pas ailleurs mais près de chez vous, à Draveil !
Fin enquête publique 5 juillet 2003 - Motion portée au
conseil municipal par
Le PPRi doit être considéré comme un outil de travail pour une prise de conscience des risques d’inondation en Ile de France, et par conséquent de pouvoir faire face aux situations de crise qui ne peuvent être qu’en augmentation.
Les causes, on en parle peu : urbanisation intensive,
défrichement, remembrement agricole, bétonnage, imperméabilisation des sols,
routes, parkings, pratiques «brutales» de canalisation des cours d’eaux,
endigage et bétonnage des rives provoquant en aval des risques d’inondation
plus importants du fait de l’accélération du courant, assèchement des zones
humides.
Le PPRi doit être considéré comme un outil de prévention pour limiter l’impact des crues et réduire les risques d’inondation et les dommages économiques qui en découleraient, et enfin réduire les impacts sur l’environnement et leurs conséquences sanitaires pour les populations.
Le PPRi nous oblige à un devoir de mémoire, de
sensibilisation, d’information et de concertation avec la population –
complètement absente.
Le PPRi repose sur une maîtrise de l’urbanisme, avec bien
sûr des contraintes :
Nécessité de maintenir voire d’augmenter les zones
d’expansion des crues.
Ne pas vouloir systématiquement construire les «dents
creuses».
Réduire l’imperméabilisation des sols.
Maintenir les 20% d’exclusion immobilière.
L’avenue du Général de Gaulle ne trouve pas de justification
à être en zone verte, dès lors que le reste du quartier est en zone bleue.
Renforcer la gestion des eaux de ruissellement et pluviales.
Contraintes à assumer par les élus dans le cadre de la décentralisation qu’ils revendiquent.
Par contre, les atteintes au patrimoine entraînées devraient recevoir compensation financière de la part de l’Etat dont la responsabilité est fortement engagée, et parce que c’est à l’Etat d’assurer la nécessaire solidarité.
L’Agence Régionale des Espaces Verts peut être aussi ici un
outil intéressant.
Il va de soi qu’un PPRi n’a de chance de réussite que dans une prise en compte intercommunale.
La crue de 1910 en référence
Informations
sur http://www.prim.net/ et les cartes détaillées http://www.ile-de-france.environnement.gouv.fr/phecrues/historique/atlas/liste.htm
( déception quant à la mise en place de l’Association des Communes Riveraines - dont l’objectif principal était de s’opposer au PPRi, considéré comme un frein à l’urbanisation et donc au développement individualiste communal, au lieu d’être force de proposition ) départementale, régionale et finalement s’inscrire dans une vision globale, ce que l’on peut résumer en une phrase : agir localement, penser globalement !
08 octobre 2005
Les hospitaliers dénoncent une situation «catastrophique». Le manque de personnel serait devenu si criant que «la sécurité des patients est en jeu». Ce n’est d’ailleurs pas particulier à Draveil mais général dans la fonction hospitalière : des millions d’HS et de RTT à récupérer, faute de personnel.
Dans cet hôpital de l'Assistance publique de 619 lits et plus d'un millier de salariés, le problème n'est pas nouveau. Depuis des années, les syndicats se plaignent des coupes claires dans leurs effectifs. Mais cette fois la situation serait devenue «catastrophique». En un an, les délégués ont alerté leur direction à près de deux cents reprises pour lui signaler une pénurie de personnel. Il manque 33 infirmières, 47 aides-soignants et 30 agents hospitaliers. Travailler et vivre à Draveil, c’est ce que souhaitent beaucoup de travailleurs alors qu’est ce qui pousse ceux-ci à déserter l’établissement, là est la bonne question !
Non seulement la direction ne veut pas embaucher, soutenant
que c’est bien assez comme ça pour les malades (c’est sûr, c’est pas les vieux
les plus riches qui sont là), mais elle s'apprête à supprimer de nouveaux
postes et le harcèlement moral fait partie du mode de management. La
privatisation de l’hôpital Joffre et les incertitudes sur l’utilisation des
terrains ne va pas arranger
Construire
en zone Sévéso : les leçons ne portent pas. Nouvelle enquête publique
suite à l’augmentation du stockage d’hydrocarbures en octobre 2006. Grigny va
t-il accorder le permis de construire à Clause et exiger le départ de la
CIM ?
Suite … exercice du 23 juin 2009, avez-vous
entendu les sirènes à Draveil 4 coups brefs 1 long et ceci trois fois vers
14h05 … probablement que NON et pourtant si cela n’avait pas été qu’un exercice
et que nous étions sous le vent ????
Dont acte, au dernier exercice nous avons nettement entendu les sirènes, mais c’était juste après l’accident du silo de grains dont la surchauffe et l’explosion n’a été évité que par « mise sous atmosphère à l’azote ».
TOULOUSE AZF : 6 ans après
20 septembre 2001 : 30 morts et 9.000 blessés
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On ne
sait toujours pas comment c’est arrivé, mais c’est arrivé, et le bilan de la
prise en charge des victimes est toujours aussi désastreux des années après.
Fautes de l’état, de ses représentants, des industriels SNPE et TOTAL. Si on
ne nous permet pas de comprendre clairement comment l’accident est survenu,
alors d’autres pourront se produire de la même façon. Et ce n’est pas le
premier pour l’ammonitrate. Voir le reportage sur FR3 le 18 septembre 2003 à
23h30 (et oui, un sujet intéressant enfin à une heure de grande écoute). En
tout cas, l’explosion tombe à pic, pas besoin de plan social pour délocaliser
vers un pays moins regardant sur la sécurité. |
Draveil > Montgeron > Juvisy Gares RER et routières
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Voir le tract Vigneux Enquête Publique … contact Ghyslaine Degrave
Des projets plus tordus les uns que les autres, disparition
de parkings près de la gare, construction en zone inondable, réduction de zones
d’espaces verts …
Six modifications et révisions du plan d’occupation des sols de 2001 à
2006 ont permis des changements de
zonage et des extensions du COS, donnant ainsi la possibilité de
construire des immeubles collectifs dans des quartiers pavillonnaires. La
modification proposée, par cette révision, corrige à la marge ces dispositions et ne peut nous
satisfaire.
- Sur le quartier de la gare : les rues Lakota,
Corneille, Molière, Petit,
conserveraient en grande partie la possibilité de constructions d’immeubles
collectifs d’une hauteur de 12/13 mètres, laissant même des rues avec deux zonages : un côté trottoir en
pavillonnaire et l’autre en collectif.
- Sur le quartier Arbre de la Liberté concernant les rues
Mainville, Bouquet, Liberté, Gaieté : d’une part, les riverains
continueront à subir la hauteur des immeubles collectifs de l’avenue Barbusse
pouvant aller jusqu'à
- Sur le quartier Mousseaux, la zone d’activité passerait
en zone d’habitat collectif avec une route coupant la parcelle alors que ce
secteur de la rue Marin est
pavillonnaire. D’une part, le transfert de l’entreprise Interseroh dans
la zone d’activités vigneusienne est loin d’être engagé par le Maire, d’autre
part, quand le moment sera venu, nous demandons une consultation avec les
habitants, pour un futur classement de ce secteur en zone d’habitat individuel
et équipements publics.
Les habitants, des nombreuses zones pavillonnaires de Vigneux, ont déjà
remis au Maire de nombreuses pétitions
sur ce sujet. Rappelons que les secteurs
gare et Mousseaux sont situés en zone inondable, que les infrastructures
existantes (rues étroites, peu de places de stationnement, absence
d’équipements publics, flux de véhicules en augmentation générant une insécurité...)
ne se prêtent pas à une densification d’immeubles collectifs et qu’avec ces
projets, les habitants subissent des
nuisances en perte de qualité de vie et en dépréciation de la valeur de leur
maison.
Par ailleurs, la modification de zonage envisagée sur le quartier Croix
Blanche : Joliot Curie/Malraux, Descartes/Brassens/Brel ... donnerait la
possibilité d’élever les collectifs de 15 à
Egalement, les modifications envisagées sur le site du Clos de la Régale
ne tiennent pas compte des recours en annulation de l’ensemble des permis de
construire sur ce site, actuellement au tribunal administratif.
Nous souhaitons l’arrêt de tous ces projets immobiliers, densifiant de
façon trop importante notre ville et le retour pour les zones pavillonnaires
d’un classement en zone d’habitat individuel.
De nombreuses révisions et modifications du POS ont eu lieu depuis 2001,
modifiant de façon importante l’économie générale de la ville, les habitants
les subissent, sans y être associés,
c’est pourquoi nous demandons la mise en oeuvre immédiate d’un Plan Local d’Urbanisme, obligatoire selon cette situation par la loi,
avec études et concertations des vigneusiens pour l’aménagement de la ville.
Construction en zone inondable de 373 logements en collectifs sur 4 étages à l’emplacement du parking de la gare. Un secteur difficile d’accès et inondable !
Pas de trace d’équipements communaux nécessaires tels que scolaire dans les budgets, aberrant !
Déménagement de la déchetterie nouvellement rénovée à grand frais par le SIREDOM, qui paiera ?
Construction de 167 logements en collectifs sur zone de commerces + 5 étages à l’emplacement du magasin et parking ED.
Le projet
et en cours d’étude, comme le troisième pont sur la seine … Un groupe de
travail des verts est en cours de création à l’occasion de la modification du
SDRIF.
D’ores et
déjà, il faut savoir que le pont ne sera pas crée en fonction d’un éventuel
port et que cela signifie qu’une grosse partie du trafic se rapporterait sur
Draveil : des centaines de camions jours. Si on attend toujours les poids
lourds du PN9 promis par Mr le maire, ceux là ne seront pas virtuels. De toute
façon l’équipement prévu ne serait que pour les transports en communs et
liaisons douces !
A moins
que l’on se re-oriente vers un projet de port touristique avec un complexe
hôtelier 4 étoiles dont le maire UMP de Vigneux vient de poser la première
pierre. 120 chambres et près de
200 appartements de luxe. Piscine, commerces, salle de sport, pour la bagatelle
de 35 millions d'euros. En tout état de cause l’un
n’empêcherait pas l’autre.
450 pavillons situés au lieu dit «le clos de la régale», dans la plaine entre la RN6, la forêt et l’école de police. Impact sur l’environnement de ces quelques 1.500 à 2.000 habitants nouveaux, combien de véhicules sur cette route déjà saturée ? Nous sommes opposés à ce projet qui provoquera encore plus le mitage de cette partie de la forêt de Sénart. De plus cette zone est traversée par un ru qui prend sa source en forêt : une fois urbanisée le sol imperméabilisé deviendra inondable, il ne faudrait pas pleurer après !
Il était nécessaire de garder des zones péri agricoles en bordure de forêt pour en sauvegarder la biodiversité. Nous avons distribué un tract d’information sur Vigneux disponible sur ce lien.
Malgré le recours au tribunal exercé par deux associations, le Maire de
Vigneux s’entête dans ses projets immobiliers, les promoteurs encaissent les
chèques, l’aménageur engage les travaux de préparation du terrain, sans aviser
les acheteurs qu’il y a plusieurs procédures en cours au tribunal.
Déjà 11 élus municipaux avaient déposé un recours au tribunal en février
2006 pour l’annulation de l’aménagement du Clos de la Régale, toujours en
instruction.
En mai 2007, deux associations ont
effectué un recours hiérarchique auprès du préfet pour l’annulation des permis
de construire, accordés par le maire de Vigneux sur le site du Clos de la
Régale. Et avec les encouragements du préfet, ont déposé un recours au tribunal
administratif, pour l’annulation des 25
permis de construire, début août 2007.
Lors d’un débat public organisé le 15 mai 2007 par des élus municipaux,
la présidente de Convergences Vigneux a indiqué oralement devant 200 personnes
au représentant de Neixity Foncier Conseil aménageur, présent dans la salle et
représentant les promoteurs, que les permis allaient être attaqués par un
recours administratif et juridique. L’aménageur a été prévenu par téléphone, le
21 mai, que les recours avaient été déposés le même jour, contre l’ensemble des
permis de construire.
De plus, les derniers permis de construire du Clos de la Régale, qui
viennent d’être délivrés en août et septembre par le maire, font l’objet d’un recours juridique. On
l’aura bien compris, les partisans de ces opérations immobilières seront seuls,
responsables des désagréments que pourraient subir les familles acheteuses de
ces logements.
Clos de la Régale : Les Verts sont opposés à
l’exploitation de cette antenne relais, les futurs habitants de la zone pavillonnaire
(lotissement que nous contestons par ailleurs) seront mis devant le fait
accompli : l’antenne est bien là à répandre ses ondes malveillantes sur
leur tête et via le nouveau groupe scolaire sur celle de leurs enfants. Voir le tract de 10 février 2007
Dans le quartier
de la gare, les riverains vont subir les ondes électromagnétiques dégagées
par 4 relais de radio téléphonie mobile,
installés sur les immeubles de la Place Lakota et de la résidence Bel Air.
Trois associations
interpellent le président de la communauté d’agglomération et le vice-président
et maire de Vigneux, pour l’achat d’un
appareil de mesure avec sonde
permanente avec la réalisation d’un contrôle sur plusieurs jours,
par un organisme indépendant des entreprises intéressées à la mise en
œuvre de ces nouvelles technologies, tel le CRIIREM (centre de recherche et
d’information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques). Cela
permettra de vérifier le niveau
d’exposition du public aux champs électromagnétiques et de prendre les mesures
liées à ces résultats.
L’article
5 de la charte de l’environnement incluse dans notre constitution
stipule :
«Lorsque la
réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances
scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible
l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe
de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en œuvre de
procédures d’évaluation des risques et à l’adoption des mesures provisoires et
proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage».
Ce qui ne parait
d’ailleurs plus contestable au vu des études pratiquées dans les pays où il
existe des experts indépendants non liés aux exploitants comme en France.
Ce principe de
précaution n’a d’autre utilité que de définir les responsables en cas de
problème lorsque les assureurs (et pour cause) ne veulent plus prendre le
risque d’assurer leur propre métier. A défaut c’est le pollué et la victime qui
paye les dégâts causés par les industriels inconséquents.
La téléphonie
mobile connaît un développement exponentiel. Sans renoncer à celle-ci, il
s’agit d’éviter que son développement incontrôlé déclenche le prochain gros
problème de santé publique. Les avantages incontestables que le consommateur
peut en tirer ne doivent pas occulter la prudence qui s’impose lors de son
utilisation, ni affranchir les pouvoirs publics de prescrire certains éléments
d’information relatifs à l’usage de ces équipements terminaux radioélectriques.
La spécificité des
ondes rayonnées par la téléphonie mobile se fonde sur l’alliance entre hautes
et extrêmement basses fréquences. Or, les extrêmement basses fréquences ont été
classées dans la catégorie « potentiellement » cancérigène.
La population subit les champs électromagnétiques, sans qu’on lui ait
demandé son avis.
C’est le cas des
téléphones portables GSM (900 Mhz) et UMTS (2.100 Mhz) et du niveau
d’exposition humain au champ magnétique produit et quantifiable par
l’intermédiaire du débit d’absorption spécifique de l’énergie locale dans la
tête de l’appareil, qui traduit la quantité maximale de puissance qui peut-être
absorbée par les tissus.
C’est le cas du
mode WIFI, qui se développe dans les établissements scolaires, où le terminal
émet des ondes pulsées à 2.450 Mhz, la fréquence optimum pour agiter les molécules
d’eau, c’est à dire exactement celle utilisée par un four à micro-ondes.
C’est le cas
également pour le nombre important d’antennes relais de téléphonie mobile
implantées dans les villes de l’agglomération, et qui continue à croître, au
dessus des immeubles collectifs, près des écoles, proches des habitations et
lieux de vie.
Cette situation
pose à la fois des questions liées à la défense de l’environnement paysager,
des problèmes de démocratie citoyenne, de santé publique, qui intéressent aussi
bien les riverains d’antenne, les utilisateurs, que les habitants des villes.
La santé publique
est sans doute la plus préoccupante et nécessite des mesures urgentes. De nombreuses recherches portant sur les
effets des rayonnements sur la santé, qu’il s’agisse de basses ou de hautes
fréquences, ont démontré des conséquences sur l’humain : fatigabilité,
irritabilité, nausées, céphalées, anorexie, dépression, difficultés de
concentration, modification de la formule sanguine, perturbations de
l’électroencéphalogramme et de la reproduction, atteinte d’organes des sens,
tumeurs, cancers...
Nous
appelons les habitants à se mobiliser contre l’extension des relais de radio
téléphonie mobile, déjà nombreux sur la ville de Vigneux : rue Pierre
Brossolette, site Clos de la Régale, zones d’activités, rue du 14 juillet,
avenue Henri Charon … et à exiger un contrôle immédiat par un organisme
indépendant, des répercussions des ondes électromagnétiques sur la santé des
habitants.
Le projet de démolition des 7 tours de la Croix Blanche
ainsi que 6 petits bâtiments proches est à l’ordre du jour. En 2004, le
réaménagement des halls d’immeubles était privilégié. Le coût de ces futures
opérations démolition - reconstruction est évalué à plus de 236 millions d’€.
Pourquoi ? Les logements sont-ils vétustes, posent-ils un problème de sécurité ou bien veut-on changer l’image de la ville et en faire partir une catégorie des habitants ?
Qu’en pensent les personnes concernées, qui viennent de recevoir un avis de démolition de leur habitat et ce, sans concertation, ni association au nouveau projet ?
Où vont être relogées ces 9O3 familles ? Dans un habitat de meilleur confort et au même loyer ou bien dans un logement plus vétuste, plus éloigné de leur lieu de travail et avec en plus les frais de déménagement à leur charge ? Quant à l’image de la ville est-elle si négative, alors que le prix du terrain ne cesse d’augmenter sur Vigneux ?
Si de nombreux élus vigneusiens ont du mal à obtenir les informations sur ces nouveaux projets, que dire des habitants ! C’est par le biais des services de l’Etat et du conseil général, qu’on obtient quelques renseignements :
- Sur le terrain situé entre la Seine, la voie SNCF et la déchetterie seraient construits de nombreux immeubles, tout cela en zone inondable, le parking de la gare disparaîtrait, ce qui n’encouragera pas l’utilisation des transports en commun !
- Le site se trouvant entre la rue de la Côte d’Or et la rue St Just serait entièrement bâti, au détriment des terrains de sport qui disparaîtraient.
Quant aux autres constructions, il faudrait faire tenir en largeur l’ensemble des logements qui étaient en hauteur, ce qui augmenterait la densification des surfaces et entraînerait la disparition des commerces de proximité : or, nous pensons que leur présence est essentielle, pour le confort des habitants, pour la réduction des déplacements motorisés, pour le maintien des liens sociaux, pour la vie du quartier.
Absence de démocratie
Un projet urbain qui va être à l’origine de multiples transformations de la ville de Vigneux mérite d’être réfléchi avec les habitants, car il engage l’avenir de tous.
L’environnement, une fois de
plus bafoué
Il reste quelques terrains libres sur Vigneux, le maire actuel s’empresse de les urbaniser, à ce rythme, que va-t-on laisser aux générations futures ?
Les équipements sportifs, éducatifs, culturels et sociaux nécessaires à la population sont ignorés.
Les rues et les trottoirs sont délabrés sur une grande partie de la ville, le stationnement et le plan de circulation insatisfaisant, le trafic de véhicules trop important. La loi N°2005-102 du 11 février 2005 dite loi pour l’égalité de droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées laisse 10 ans aux communes pour se mettre en conformité, après c’est le régime de la sanction financière. Avant d’entreprendre une rénovation de cette ampleur il est nécessaire d’étudier, démocratiquement, le devenir global de la cité !
D’autres projets de développement durable à l’échelle des
quartiers, se mettent en place en France en concertation avec les habitants en
tenant compte de préoccupations environnementales : matériaux écologiques et
sains, énergies renouvelables, espaces nature, déplacements urbains propres,
sécurité en matière d’inondation… Alors,
pourquoi pas à Vigneux ?
Nous souhaitons des projets modèles d’aménagement, pour Vigneux, dans le cadre d’une concertation approfondie.
Pour cela, nous demandons une consultation populaire et un débat public avec le Maire et l’ensemble du Conseil municipal avant toute prise de décision.
Draveil > Vigneux > Juvisy Gares RER et routières
P.Vriez |
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C’était le 8 mars 2001 et c’était une promesse électorale. Les promesses électorales c’est bien connu n’engagent que ceux qui les écoutent, aussi il est de temps en temps nécessaire de les remettre au bon souvenir de ceux qui les ont émises. Nous attendons avec une impatience contenue, que la maison de l’environnement sorte de terre à Montgeron et dans les conditions négociées. L’enveloppe de 600.000 € a été votée par la communauté du Val de Seine, reste à en définir les attributions et le mode de fonctionnement.
Tract intitulé : Faisons ensemble de Montgeron une
vraie ville.
Avec 44, 96 %, vous avez fait un choix. Le choix d’une équipe unie et soudée, seule à porter un projet réaliste et cohérent, à pouvoir gérer notre commune avec sérieux et compétence, à proposer une ambition pour l’avenir de Montgeron.
Pour mener à bien nos projets, nous avons aussi besoin de l’aide du Conseil général. Avec la majorité plurielle qui préside aux destinées du Département, je continuerai à défendre les intérêts de Montgeron, à porter la voix de notre commune dans l’Assemblée départementale.
C’est pourquoi les élections cantonales sont aussi importantes que les élections municipales.
Dimanche 18 mars, il faut amplifier le rassemblement qui a eu lieu au premier tour et ainsi porter haut et fort notre volonté de continuer à faire ensemble de Montgeron, une vraie ville.
Gérald HERAULT, tête de liste « Rassemblés pour Montgeron »
Candidat de la Majorité plurielle et des Verts aux élections municipales et cantonales
Vous connaissez désormais notre programme dont nous vous rappelons les grandes têtes de chapitre
Protéger et valoriser notre environnement
Développer l’activité économique et l’emploi Agir pour la solidarité au quotidien
Oeuvrer pour le bien-être des générations qui composent notre ville
Maîtriser la fiscalité et le budget
Développer les pratiques sportives et culturelles
Favoriser une citoyenneté active
En étroite coopération avec “les
Verts”, nous créerons à Montgeron, avec l’aide du Conseil général, une Maison
de l’Environnement à vocation intercommunale. Une commission extra-municipale de l’environnement
dotée des moyens nécessaires à son fonctionnement, sera créée et largement
ouverte aux Verts et aux associations de protection de l’environnement.
Poursuite de la réhabilitation du collège Pompidou
Reconstruction du collège Weiler
Réfection complète de la rue Raymond Paumier, avec création d’une piste cyclable et d’une piste piétonne
Développement des transports en commun et des liaisons douces
Aide aux associations sportives et culturelles
Poursuite du programme de réhabilitation de la Prairie de l’Oly
Réhabilitation de la résidence de la Forêt
Réalisation de la troisième tranche de l’Espace Lelong (parc et centre de loisirs)
Construction d’une nouvelle bibliothèque-médiathèque
Des promesses en 2001, non tenues, et c’est pourquoi nous ne
le soutenons pas en 2008. Nous n’appelons pas à voter pour Gérald HERAULT aux élections municipales
et cantonales … qu’à cela ne
tienne, il s’invente le soutien de
Draveil > Vigneux > Montgeron >
C’est un dossier que Europe Ecologie - les Verts, et deux associations draveilloises l’UFC et l’AUT suivent avec assiduité depuis 1999 avec une vision globale, contrairement à certains élus … qui ne doivent jamais utiliser les lignes C et D. Ce projet de la fin XXème siècle est devenu obsolète tellement on l’aura attendu.
Le diagnostic a été établi par un bureau d’études qui a
identifié les dysfonctionnements de la gare et de ses abords. Nous considérons
comme majeurs, notamment pour les draveillois les problèmes suivants :
Eloignement et les difficultés de circulation des bus au
sortir de la gare routière Seine Draveil.
Encombrements et bousculades dans le couloir central de la
gare SNCF
Le tramway Villejuif / Athis-Mons arriverait à la gare
Juvisy en 2012 au mieux 2013, plutôt au vu des problèmes d’Orly (sources de
pétrole), il ne doit pas être terminus Juvisy, il faut prévoir son devenir à
plus long terme qui doit être de desservir la communauté de commune
Draveil-Vigneux-Montgeron.
Les gares routières ont été réaménagées mais le trafic des
cars restent problématiques.
Le souterrain de correspondance réalisé en 1992 est toujours
sous-utilisé, et pour cause, il ne débouche sur rien d’autres que les quais.
Le pont supérieur SNCF devait être rapidement remplacé et rendu piéton voire détruit, … depuis déjà cinq ans. Rien n’avance dans ce dossier, il est atteint de la « maladie du béton »; on attend qu’il tombe tout seul ?
Ne pas considérer la résolution de tous les problèmes de
trafic de transit comme un préalable au réaménagement de la gare ;
Les considérations d’urbanisme de la ville de Juvisy ne
doivent pas être prioritaires dans les choix d’aménagement ;
Les correspondances à privilégier sont :
1) bus/RER qui sont et resteront majoritaires ;
2) tramway/RER et bus/tramway (à terme) ;
3) bus/bus
Vue l’inadaptation
de la gare routière Seine, il faut la remplacer à court terme, à
l’emplacement de l’actuel terrain vague appartenant à la ville de Juvisy,
débouchant rue Danton à environ
Prévoir des parcs à vélos sécurisés. C’est indispensable
pour développer son usage mais non suffisant, il faut des pistes réservées et
notamment pour la traversée de la Seine et devant la base de loisirs.
Les conséquences en terme de temps de parcours pour les bus
ont-elles été chiffrés ?
Idem pour les temps de correspondances piétons entre le
point de déchargement le plus éloigné pour les bus et les quais ligne D (cas le
+ défavorable) ?
Quel aménagement permettrait l’accès facile des bus au pont
sur la Seine ?
Mettre à profit cet étude pour créer un site propre liaison
douce, piétons, cyclistes… Aujourd’hui deux poussettes d’enfant ne se croisent
pas sur les trottoirs, et les cyclistes sont en danger permanent sur la
chaussée.
Un boulevard urbain le long des voies ferrées au nord en
lieu et place de la voie du bord de Seine, oui, mais où déboucherait-il ?
Bords de Seine transformables en liaisons douces, cela ne résoudra pas la
saturation de cet axe aux heures de pointe.
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1 Gare
routière 2 Gare RER
3 Pont de franchissement 4 Tramway 5 et 6 Circulation douce aérien ou
souterrain |
Enquête publique en cours en février mars 2007 … pour
un projet au rabais par rapport au scénario «F», fallait s’y attendre … début
des travaux fin en 2009 2010 2011 ou 2020 ?
… et oui, on aura
attendu d’urbaniser la zone pour rendre encore plus difficile ce
chantier !
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Crée le : 25 11 2005 mise à jour le : 26 janvier 2011